Introduction

Le plan théorique de l’évolutionniste nécessite évidemment des preuves concrètes. Les paléontologues se sont alors mis à combler les chaînons manquants entre singes et hommes par la découverte de fossiles. Les risques d’erreur ou de falsification furent dès lors grands.

Ainsi, l'homme du Nebraska fut construit avec ce qui apparut plus tard être la dent d'une espèce éteinte de porc. Cette « preuve » fut utilisée par Clarence Darrow au procès Scopes (Tennessee, 1925) comme pièce à conviction pour tenter de faire admettre l'évolution dans les écoles publiques de cet Etat.

Une autre fraude, l’homme de Piltdown, fut construite à partir de fossiles maquillés placés dans une carrière. Ces deux exemples furent déclarés comme chaînons manquants par la communauté scientifique.

Il en va de même pour Lucy, le célèbre squelette découvert en Ethiopie. L’authenticité de certains ossements sur lesquels se base la découverte serait très douteuse ; notamment l’os du bassin qui remettrait en cause sa démarche. La découverte pourrait s’apparenter aussi bien à une espèce parente du chimpanzé pygmée actuel, ou à une espèce disparue.

Les preuves des évolutionnistes dépendent en grande partie de l’interprétation des ossements trouvés. Cette interprétation, au lieu d’être objective, se fait souvent dans l’espoir de combler les chaînons manquants de la théorie, et est donc faussée par cette espérance. En effet, il est facile de faire dire aux os ce qu’on veut. N’oublions pas que Darwin, à la fin de sa vie, se serait excusé d’avoir induit en erreur l’humanité!